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Quelle Pensée
1 février 2019

Facebook et l’avenir de la technologie

Facebook vient de vivre la pire année de sa jeune histoire. Son patron veut prendre une place publique plus importante dans les discussions sur le lien entre technologie et société. Alors qu'il devait réparer Facebook en 2018 , Mark Zuckerberg s'est retrouvé empêtré dans une série de scandales sans précédent pour sa société. Aussi, à l'occasion du traditionnel défi qu'il s'impose pour chaque nouvelle année, le patron du premier réseau social au monde s'est bien gardé de faire une promesse aussi ambitieuse. La validation de votre inscription vous inscrit automatiquement à des Newsletters et vaut acceptation des Conditions Générales d'Utilisation et des Conditions Générales de Ventes. Vous êtes susceptibles de recevoir des offres commerciales du Groupe Les Echos ou de sociétés partenaires pour des produits et services analogues à ceux que vous avez commandés. Si vous ne le souhaitez pas, cochez la case ci-contre. Dans les années 1960, les sciences économiques explorent de nouveaux sujets comme l'éducation, la criminalité ou encore la famille. Les travaux de Gary Becker sont emblématiques de cette tendance à utiliser la théorie économique pour analyser des sujets hors du domaine traditionnel de l'économie. En macroéconomie, la fin des années 1980 et le début des années 1990 est marqué par un renouvellement des travaux sur la croissance économique autour de la notion de croissance endogène. Les années 1990 et 2000 sont caractérisées par une part de plus en plus importantes de travaux empiriques dans la recherche en économie. Ce qui différencie la science économique notamment la micro-économie des autres sciences, c'est son aspect normatif, son hypothèse qui veut que les agents économiques agissent rationnellement. ]. La maximisation de l'utilité n'a pas ici un caractère utilitariste au sens de Jeremy Bentham. Mais les néo-journalistes préfèrent titrer sur "le mouvement qui s’essouffle" dès le premier jour de la semaine. Ensuite, ils insistent sur les accidents causés par les Gilets jaunes. Là aussi, là encore, il s’agit de discréditer le mouvement. Il ne vient pas à l’idée de ces néo-journalistes que ce sont la plupart du temps non pas des accidents causés par les Gilets jaunes mais par ceux qui refusent les Gilets jaunes ! Car le filtrage, et non l’immobilisation, exige des gens un peu de leur temps et non, comme il fut dit, des nuits passées dans des véhicules. De sorte que ceux qui s’énervent parce qu’on les ralentit et le font savoir de façon agressive, parfois en fonçant dans la foule, font naître l’énervement des Gilets jaunes. Il y a toujours un internaute bien inspiré qui filme et met en ligne afin de faire savoir que tel incident dans tel endroit est représentatif de la totalité du mouvement de revendication. Amusant de voir Onfray me repiquer à peu près tout avec dix ans de retard - y compris l'idée du média indépendant - après m'avoir systématiquement craché à la gueule ! La différence c'est que mon parcours est cohérent, le sien, en revanche, a tout de l'opportunisme ou de la révélation ! En plus il ment sur Maastricht, à l'époque il a voté comme Mélanchon. Le 16 septembre 2016, Michel Onfray s'indigne dans un entretien au Figaro que France culture ait annoncé que "Michel Onfray lance son web média… comme Soral et Dieudonné". Ce type est un symptome, un pauvre type. Dieudonné est un antisémite, un fasciste, un négationniste, un révisionniste, un ami de Faurisson, etc. Enfin, il a rien pour lui, et il est détestable en tout. Le 30 janvier 2014, Michel Onfray critique Dieudonné dans Les Grandes Gueules sur RMC. ] comparent le rapprochement entre Michel Onfray et l'extrême-droite à celui de Dieudonné. Dans Y-a-t-il encore des sauvages en Amérique? ] sont devenus l’antidote miracle de la profonde angoisse qui étreint l’Occident face à la dégradation croissante de l’environnement à l’échelle planétaire. «Les temps où les anthropologues parlaient au nom des Amérindiens sont heureusement révolus. Nous ne pouvons plus ignorer que nous parlons désormais en notre nom propre (…). Seulement voilà: Michel Onfray n’est pas anthropologue. Le philosophe prend d’ailleurs soin de liquider l’héritage de la discipline d’un cinglant «Je ne hais pas les voyages. Mieux, ou pire: je les adore» (p.16). Un camouflet raté à l’incipit de Tristes Tropiques, de Claude Lévi-Strauss. L’occasion surtout, de prouver qu’il n’a pas compris la phrase du père de l’anthropologie française, et de donner raison à celui-ci. Car en écrivant «Je hais les voyages et les explorateurs», Lévi-Strauss critiquait précisément l’attitude des explorateurs à la Onfray.

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